Swan Vaude fait résonner la Marseillaise dans les jardins du Palais de l’Élysée : un moment historique pour De Leeuw Guitars

Le week-end dernier restera comme l’un des moments les plus marquants de l’histoire de notre atelier. L’une de nos guitares a résonné dans les jardins du Palais de l’Élysée pour interpréter la Marseillaise.
Un instant rare, presque suspendu, rendu possible dans le cadre de la Grande Exposition du Fabriqué en France, dont De Leeuw Guitars fut l’un des lauréats 2025.
Un honneur pour notre atelier d’artisanat d’art
Être invité à faire dialoguer notre instrument avec l’hymne national, au cœur de la maison France, représente bien plus qu’une distinction : c’est une reconnaissance de l’excellence artisanale française et du rôle que peuvent jouer les métiers d’art dans le rayonnement culturel du pays.
Nous tenons à exprimer notre profonde gratitude au Président de la République, Emmanuel Macron, ainsi qu’à ses équipes, pour la place qu’ils accordent aux artisans, aux ateliers et aux entreprises qui ont choisi de fabriquer en France. Ce soutien est un encouragement essentiel pour celles et ceux qui défendent, jour après jour, la valeur du geste, la transmission des savoir-faire et l’ambition d’un « beau français ».
Un moment sublimé par un artiste
L’interprétation de la Marseillaise fut confiée au musicien Swan Vaude, dont l’arrangement, d’une grande sensibilité et d’une élégance rare, a sublimé l’instant. Voir notre instrument porter l’hymne national dans un lieu aussi symbolique restera pour notre équipe un souvenir inoubliable.
De Leeuw Guitars tient également à remercier chaleureusement les équipes de la Présidence de la République pour leur bienveillance, leur accompagnement et leur accueil tout au long de l’événement. Et à saluer celles et ceux qui, par leur engagement quotidien, rendent possible l’excellence de nos instruments : Quentin, Hervé, Frédérique, Liza, David, Charles, Gilles, Origine France Garantie, Anthony, et l’ensemble de nos partenaires.
🇫🇷 Vive le Fabriqué en France. Vive les métiers d’art.
Et vive celles et ceux qui portent nos mains, nos matières et notre poésie au-delà de nos frontières.
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